Quare talis improborum consensio non modo excusatione amicitiae tegenda non est sed potius supplicio omni vindicanda est,ut ne quis concessum putet amicum vel bellum patriae inferentem sequi; quod quidem, ut res ire coepit, haud scio an aliquando futurum sit. Mihi autem non minori curae est, qualis res publica post mortem meam futura, quam qualis hodie sit.
Eius populus ab incunabulis primis ad usque pueritiae tempus extremum, quod annis circumcluditur fere trecentis, circummurana pertulit bella, deinde aetatem ingressus adultam post multiplices bellorum aerumnas Alpes transcendit et fretum, in iuvenem erectus et virum ex omni plaga quam orbis ambit inmensus, reportavit laureas et triumphos, iamque vergens in senium et nomine solo aliquotiens vincens ad tranquilliora vitae discessit.
Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ? Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
Nom : Montgomery. Prénom(s) : Robyn. Date et lieu de naissance : Le 24 avril 1995. Age : Vingt-deux ans. Nationalité : Américaine. Orientation sexuelle : Pansexuelle. Statut civil : Célibataire. Profession : Interne, spécialisation en cardiologie. Groupe : Les internes. Quels sont tes cinq principaux défauts ? rancunière/sarcastique/rabat-joie/secrète/têtue. Quels sont tes cinq principales qualités ? honnête/perfectionniste/stratégique/cultivée/intelligente.
Comment doit-on t'appeler? Pauline. Quel âge as-tu? 17 ans. Où habites-tu? en France. Combien de temps es-tu disponible? tout le teeeeeeemps. Comment as-tu connu le forum? Qu'en penses-tu? Un dernier mot? .
codage by miss horan
Dernière édition par Robyn Montgomery le Dim 19 Mar - 20:06, édité 21 fois
Elle se tenait droite, sa chevelure blonde plaquée contre son crâne, ses prunelles bleues miroitant devant la vitre close. Au seuil de la porte, la silhouette massive de cet homme. Etranger dans les sentiments, si proche dans les veines. Enrôlé dans son costume bleu roi, l'insigne dorée luisante. Alors, elle restait accoudée à la fenêtre, en attendant que le temps passe. Tandis que son élastique craquait au rythme de son espoir affaibli. Et ses cheveux cascadaient contre son dos frémissant. L'ombre s'avançait comme un charognard vers sa proie inerte, Margot, elle était consciente. Elle devrait bouger, parler, crier, se débattre, se défendre, hurler, se venger, mais elle était dans un état second. Tétanisée par la peur de décevoir un père, de recevoir sa haine dans une plus violente rafale, d'affoler sa mère.
Sa douleur se convertit en ambition, et dans le fleuve des émotions, elle enfouissait ses démons. Les violences persévéraient toujours dans le secret total, sa mère, aveugle à la situation. Lorsque les coups partaient, elle réprimait toujours un cri. Alors, elle s'enferma dans son travail. Dans ses études, dans son silence qui la déchirait. Un soir, alors que la lune reflétait les larmes qui coulaient sur sa joue, que son père lui courbait l'échine par la brutalité de son poing, sa mère fit son apparition dans l'antre qu'était la chambre. Elle avait tout entendu, tout vu, tout enregistré dans son esprit d'apparence étriqué. Et, le regard impuissant poursuivait ce schéma quotidien qu'elle n'avait jamais pris la peine de dévisager. La colonne vertébrale du père secouée par son hoquet, ses manches retroussées, la sueur contre sa tempe, et le corps frêle de Margot, recroquevillé dans un coin. Elle était soulagée quand enfin, après des années de sanglots étouffés, sa mère vint saisir son poignet si fin, et l'emmener dans son sillage loin. Loin de ce palais dédié à la haine, loin de cette chambre où résonnaient ses cris.
Sa mère la mena donc chez une connaissance qui par la suite se révéla être sa nouvelle petite amie, à Seattle. Margot fut avant tout gênée de s'immiscer dans le cocon d'une autre famille, mais rapidement elle s'acclimata à cette nouvelle atmosphère. Plus de souffrance, plus de coup bas, plus de secret. Plus la peur d'un père dans sa déchéance.